- Hannibal Von Frayner
- Résumé : Les mains dans les entrailles de la station ; le coeur dans les étoiles et l'espace.Age : 27 années sous terre et pourtant moins sur les traits qui paraissent plus juvénilesOrigines : allemandes de par feu son grand-père, scientifique allemand ayant quitté son pays natal pour travailler pour les USACollectif : pro-surface hier, pro-surface aujourd'hui, pro-surface demain ; il veut voir les étoiles HannibalMe, myself and I :
FICHE STATIONNAIRE
Chronologie:
Relationships:
Agenda:
it's always you (rose)
Il grogne Hannibal. Parce qu'il en a assez d'être dans cette foutue cellule. Surtout que pour une fois, il n'a pas été le premier à cogner mais c'est pourtant lui qui a fini dans la cellule. Bon, l'autre est à l'infirmerie, certes mais malgré tout, le jeune Von Frayner aurait apprécié ne pas être mis pour la énième fois cette année dans cette cellule qui à force va finir par porter son nom. Il n'y peut rien, il ne sait pas réagir autrement. Il est vif. Il est impulsif. Il suffit d'un moment de trop, d'un geste de trop cette fois-ci pour qu'il perde le contrôle et qu'il finisse par cogner. Et il est violent quand il se laisse aller ainsi. Sous sa petite carrure, il sait cogner, et cogner fort Hannibal. Alors il est là. Encore une fois. Un coup d'oeil en biais à la pendule accrochée au mur lui fait savoir qu'il ne lui reste plus que trente minutes à tenir. En théorie. Si on vient lui ouvrir à l'heure, ce qu'il espère parce que l'idée est de ne pas rester une minute de plus que nécessaire à l'intérieur de cette cellule. Et comme ce temps passé dans la cellule encore lui semble long si bien que quand on vient enfin lui ouvrir, il a l'impression qu'il s'est écoulé plusieurs heures alors qu'en fait pas du tout. Il sort sans un mot, se contente de signer les papiers qu'il doit signer, attestant ainsi du fait qu'il accepte les heures de travail communautaire dont il a encore hérité et il s'éclipse sans demande son reste, remettant sa veste kaki en soupirant. Et il la voit bien vite, alors qu'il est juste devant le bureau du shérif, cette silhouette qu'il reconnaîtrait entre mille : Rose. Y'a aussitôt ce sourire qui naît sur ses lèvres mais le sourire disparaît bien vite parce que, au-delà du bonheur de pouvoir enfin la voir, il y a le souvenir des derniers mots partagés, de cette distance instaurée par la jeune femme depuis qu'ils se sont embrassés. Ou alors est-ce elle qui l'a embrassé ? Ou lui qui l'a embrassée elle ? Il ne sait plus. Mais il s'en souvient comme si c'était hier. Il sortait de cette cellule également.
C'est comme si la scène était en train de se rejouer.
Après ça, Rose a mis de la distance entre eux et Hannibal n'a pas cherché à la bouffer cette distance, respectant la décision de la jeune femme même s'il a été pas mal perdu. D'où venait le baiser ? Pourquoi si c'était pour finalement mettre de la distance entre eux ? Est-ce qu'elle a compris ? Ce que lui ressent pour elle ? Peut-être est-ce cela oui. Peut-être a-t-elle saisi et préfère-t-elle ne plus l'approcher. D'ailleurs, ce n'est peut-être pas vers lui qu'elle s'avance. Alors il détourne le regard, fait comme si elle n'était pas là. Jusqu'à ce qu'elle se plante finalement devant lui et qu'il n'ait plus d'autre choix que de la regarder. Jusqu'à ce qu'il plonge ses prunelles dans les siennes et que cela arrache un battement douloureux à son cœur. Elle est si belle... Mais il ne laisse rien paraître Hannibal, parce qu'il le faut, qu'il n'a pas le choix, qu'après tout ce temps... « Tu vas faire comme la dernière fois et m'embrasser avant de m'ignorer ? » C'est cette phrase qu'il prononce, après tout ce temps oui. Pas un « salut, comment tu vas ? » ou un « qu'est-ce que tu fais par ici ? ». Non, Hannibal met les pieds dans le plat, en la voulant détaché, imperturbable même alors qu'en fait, intérieurement, c'est particulièrement chaotique en cet instant. Oui, particulièrement chaotique parce que Rose est si près de lui qu'il peut presque sentir son parfum.
Presque.
C'est comme si la scène était en train de se rejouer.
Après ça, Rose a mis de la distance entre eux et Hannibal n'a pas cherché à la bouffer cette distance, respectant la décision de la jeune femme même s'il a été pas mal perdu. D'où venait le baiser ? Pourquoi si c'était pour finalement mettre de la distance entre eux ? Est-ce qu'elle a compris ? Ce que lui ressent pour elle ? Peut-être est-ce cela oui. Peut-être a-t-elle saisi et préfère-t-elle ne plus l'approcher. D'ailleurs, ce n'est peut-être pas vers lui qu'elle s'avance. Alors il détourne le regard, fait comme si elle n'était pas là. Jusqu'à ce qu'elle se plante finalement devant lui et qu'il n'ait plus d'autre choix que de la regarder. Jusqu'à ce qu'il plonge ses prunelles dans les siennes et que cela arrache un battement douloureux à son cœur. Elle est si belle... Mais il ne laisse rien paraître Hannibal, parce qu'il le faut, qu'il n'a pas le choix, qu'après tout ce temps... « Tu vas faire comme la dernière fois et m'embrasser avant de m'ignorer ? » C'est cette phrase qu'il prononce, après tout ce temps oui. Pas un « salut, comment tu vas ? » ou un « qu'est-ce que tu fais par ici ? ». Non, Hannibal met les pieds dans le plat, en la voulant détaché, imperturbable même alors qu'en fait, intérieurement, c'est particulièrement chaotique en cet instant. Oui, particulièrement chaotique parce que Rose est si près de lui qu'il peut presque sentir son parfum.
Presque.
- Rose Delacroix
- Résumé : Rêveuse d'étoiles et d'aventures dans les songes.Age : 26 ans.Origines : Française. Les accents qui roulent sous la langue. Ancêtres qui furent envoyés dans le nouveau monde pour accomplir un rêve perdu.Collectif : Pro-Surface. FEVER.Me, myself and I :
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Re: it's always you (rose)
Ft @"Hannibal Von Frayner"
Quelques semaines, ou peut-être des mois. Elle n’en sait rien Rose, elle ne sait pas depuis combien de temps exactement elle s’inflige ça. Cette distance, ce creux, ce ravin qu’il y a entre toi et elle. Elle se le murmure, dans l'innocence, que c’est pour ton bien, pour le sien, peut-être pour Nik, peut-être pour tout le monde, ou finalement, pour personne. Alors, elle continue son quotidien, le masque du bon semblant, essayant de se détacher de toi, d’elle, de ce qu’elle pense ressentir et de ce qu’elle ressent vraiment. C’est de moins en moins clair, pour Rose, tu es le flou de son miroir, tu es l’étranger dans l’équation, qu’elle aimerait croire, qu’elle se tuerait à se persuader. Mais finalement, quand on y pense, ce n’est pas son genre de ressasser, de se noyer dans une culpabilité, pour un baiser, de laisser cette relation d’une vie se taire dans un silence sans vie.
Coïncidence ou non, alors que Rose arpente les couloirs, la hâte aux jambes pour ne pas se retrouver en retard une nouvelle fois, la gamine tombe nez à nez avec Jäger. Ton frère, un peu le sien finalement, du moins un visage qui y ressemblait. Quelques banalités, un échange court sans grande intensité, voilà qu’elle ose, qu’elle franchit sa propre barrière. Elle demande, dans presque un silence, où tu es. Curiosité profonde qui brille dans les pupilles, ça fait un moment qu’elle ne t’a pas vu, ça fait un moment que tu lui manques.
Curieusement, elle n’est pas étonnée, Rose, elle s’en serait presque doutée, finalement. Cette cellule finira par porter ton nom, un jour, en commémoration à celui qui l’aura le plus habité. Un haussement de sourcil, un souffle désespéré, elle remercie Jäg et continue sa route, cette fois, en dépassant le niveau 2.
Elle enjambe les marches Rose, aussi vite que son souffle le lui permet. Tant pis, elle sera définitivement en retard, un peu plus un peu moins, elle n’est plus à ça près. Il y a cette petite voix qui guide ses pas, celle qu’elle ne voulait pas vraiment écouter depuis un moment.
Alors que les murs défilent, que les colons grognent sur son passage par cette gamine insolente, son coeur s'agite, tout comme ses pensées. Comment réagiras-tu ? Que devrait-elle te dire ? Une fois qu’elle sera là, face à toi ? Chose qu’elle n’aurait jamais imaginé appréhender une seule fois dans sa vie.
Pile à l’heure. Un coup d’oeil à travers l’encadrement de porte du bureau du Shériff, Rose, elle se fait discrète. Appuyée contre le mur, les mains dans les poches de sa salopette, elle attend, elle t’attend, Rose, un noeud dans la gorge, un noeud dans le coeur. Et voilà, que l’agitation, de l’autre côté du mur, se fait entendre. Te voilà. Un pas, puis deux, laissant l’hésitation loin derrière, le regard perçant de colère. Elle s’approche pointant un doigt vers ta poitrine, presque à la hauteur de son regard. Car elle est petite Rose, plus petite que toi, mais peut-être plus hargneuse.
Alors qu’elle allait ouvrir la bouche, y déverser foudre et juron de t’être mis dans une telle situation, voilà que tu l’accroches, comme une claque en plein visage. C’était tout comme. C’était fragile, encore sensible. Alors une gifle. Pas vraiment forte, mais assez pour te laisser une marque rose sur cette joue qu’elle aurait perçue comme si douce.
“J’te.. J’te permets pas !! De un, t’as pas le droit de te foutre dans la merde sans moi et de deux, je t’évite pas.”
Qu’elle croit. Qu’elle se persuade. Si la dernière fois, c’était un baiser, cette fois-ci la claque réveillera peut-être d’autres tourments. Réveillera la situation. Fureur sur les babines, elle continue son speech, aussi sûre d’elle qu’elle voudrait paraître.
“Qu’est-ce t’as foutu encore, Hanni ? Non mais sérieux ?? Tu veux te faire bannir ? Tu te crois immunisé du système ou quoi ?”
Alors, elle hésite, mais elle y glisse, son regard dans le tien, peur de décrocher, peur de perdre pied. L’hystérie se transformant doucement en peur, réelle, palpable. Pupilles qui tremblent, qui se perdent, maintenant dans les tiennes. Peut-être car tu l’as évoqué, ce baiser, ce baiser qu’elle s’avoue maintenant bien réel.
Coïncidence ou non, alors que Rose arpente les couloirs, la hâte aux jambes pour ne pas se retrouver en retard une nouvelle fois, la gamine tombe nez à nez avec Jäger. Ton frère, un peu le sien finalement, du moins un visage qui y ressemblait. Quelques banalités, un échange court sans grande intensité, voilà qu’elle ose, qu’elle franchit sa propre barrière. Elle demande, dans presque un silence, où tu es. Curiosité profonde qui brille dans les pupilles, ça fait un moment qu’elle ne t’a pas vu, ça fait un moment que tu lui manques.
Curieusement, elle n’est pas étonnée, Rose, elle s’en serait presque doutée, finalement. Cette cellule finira par porter ton nom, un jour, en commémoration à celui qui l’aura le plus habité. Un haussement de sourcil, un souffle désespéré, elle remercie Jäg et continue sa route, cette fois, en dépassant le niveau 2.
Elle enjambe les marches Rose, aussi vite que son souffle le lui permet. Tant pis, elle sera définitivement en retard, un peu plus un peu moins, elle n’est plus à ça près. Il y a cette petite voix qui guide ses pas, celle qu’elle ne voulait pas vraiment écouter depuis un moment.
Alors que les murs défilent, que les colons grognent sur son passage par cette gamine insolente, son coeur s'agite, tout comme ses pensées. Comment réagiras-tu ? Que devrait-elle te dire ? Une fois qu’elle sera là, face à toi ? Chose qu’elle n’aurait jamais imaginé appréhender une seule fois dans sa vie.
Pile à l’heure. Un coup d’oeil à travers l’encadrement de porte du bureau du Shériff, Rose, elle se fait discrète. Appuyée contre le mur, les mains dans les poches de sa salopette, elle attend, elle t’attend, Rose, un noeud dans la gorge, un noeud dans le coeur. Et voilà, que l’agitation, de l’autre côté du mur, se fait entendre. Te voilà. Un pas, puis deux, laissant l’hésitation loin derrière, le regard perçant de colère. Elle s’approche pointant un doigt vers ta poitrine, presque à la hauteur de son regard. Car elle est petite Rose, plus petite que toi, mais peut-être plus hargneuse.
Alors qu’elle allait ouvrir la bouche, y déverser foudre et juron de t’être mis dans une telle situation, voilà que tu l’accroches, comme une claque en plein visage. C’était tout comme. C’était fragile, encore sensible. Alors une gifle. Pas vraiment forte, mais assez pour te laisser une marque rose sur cette joue qu’elle aurait perçue comme si douce.
“J’te.. J’te permets pas !! De un, t’as pas le droit de te foutre dans la merde sans moi et de deux, je t’évite pas.”
Qu’elle croit. Qu’elle se persuade. Si la dernière fois, c’était un baiser, cette fois-ci la claque réveillera peut-être d’autres tourments. Réveillera la situation. Fureur sur les babines, elle continue son speech, aussi sûre d’elle qu’elle voudrait paraître.
“Qu’est-ce t’as foutu encore, Hanni ? Non mais sérieux ?? Tu veux te faire bannir ? Tu te crois immunisé du système ou quoi ?”
Alors, elle hésite, mais elle y glisse, son regard dans le tien, peur de décrocher, peur de perdre pied. L’hystérie se transformant doucement en peur, réelle, palpable. Pupilles qui tremblent, qui se perdent, maintenant dans les tiennes. Peut-être car tu l’as évoqué, ce baiser, ce baiser qu’elle s’avoue maintenant bien réel.
- Hannibal Von Frayner
- Résumé : Les mains dans les entrailles de la station ; le coeur dans les étoiles et l'espace.Age : 27 années sous terre et pourtant moins sur les traits qui paraissent plus juvénilesOrigines : allemandes de par feu son grand-père, scientifique allemand ayant quitté son pays natal pour travailler pour les USACollectif : pro-surface hier, pro-surface aujourd'hui, pro-surface demain ; il veut voir les étoiles HannibalMe, myself and I :
FICHE STATIONNAIRE
Chronologie:
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Agenda:
Re: it's always you (rose)
Il le dit comme il le pense. Sans filtre. Sans y réfléchir à deux fois. Parce qu'elle a été aux abonnés absents depuis son dernier passage par cette cellule. Un baiser et elle a disparu. Il ne fait jamais que dire la vérité après tout. Une vérité qui lui fait mal à lui. Il a eu mal d'être éloigné d'elle de cette façon. Vraiment mal. Cette manière d'attaquer, parce qu'il attaque, oui, ce n'est jamais qu'une manière de se protéger au moins un peu. Alors ça sort de sa bouche, comme ça. Et la gifle, il ne la voit vraiment pas venir. Même si elle n'est pas très forte, le geste est vexant. Blessant même en fait. Il en bat des cils, sous la surprise. Machinalement, sa main se porte là où celle de Rose a frappé alors que la jeune femme lui affirme qu'il n'a pas le droit de se mettre dans la merde sans elle. Elle ose ensuite dire qu'elle ne l'évite pas et y'a ce rire amer qui s'échappe de ses lèvres. Il est si amer oui. Il l'a mauvaise Hannibal en cet instant, plus encore que quelques instants auparavant. Il finit par plisser les yeux lorsque les questions pleuvent. Comme si ça l'intéressait véritablement... « T'as quand même un sacré culot. » qu'il siffle entre ses dents en rabaissant sa main. Il aurait préféré que la main de Rose touche sa joue d'une bien autre façon. « Et s'te plaît, me mens pas en me r'gardant droit dans les yeux. » ajoute-t-il la mâchoire serrée. « Tu m'évites pas ? A d'autres ! » Parce qu'il n'a plus de nouvelles, que quand ils se croisent même de loin elle fait en sorte de ne pas s'approcher de lui. Alors elle peut prétendre ce qu'elle veut mais si, elle l'évite. Depuis ce baiser, elle l'évite et il ne comprends pas pourquoi puisqu'ils n'ont même pas pu en parler. « J'te vois plus depuis ce jour-là. Dès que tu m'vois tu pars dans une direction différente. On n'a même pas pu s'parler. Tu m'as plus adressée la parole alors que j't'ai rien fait. J'ai rien fait d'mal ! » C'est qu'il le prend comme ça.
Comme s'il était responsable d'une certaine façon.
Alors que c'est elle qui l'a embrassé.
« Tu m'as embrassé Rose et après t'as fait en sorte qu'on s'voit plus alors me prends pas pour un con. J'suis pas débile hein. J'cogne trop facilement mais j'suis pas débile. » Il renifle, pince les lèvres. « T'as pas à m'faire la morale. Tu fais celle qui s'inquiète parce que j'me suis r'trouvé là mais si j'étais pas passé par la case prison tu s'rais même pas là à m'parler. J'vois pas bien en quoi c'qui peut m'arriver est ton problème puisque ça t'embête pas qu'on s'voit plus. » Il croise les bras. « Et pour info, c'est l'autre qui a commencé, pas moi, mais j'ai cogné plus fort alors c'moi qui paye. » Il se justifie malgré tout. Parce que celui qu'il est dans son regard compte. Parce qu'il a beau lui lancer tout ça, la vérité c'est qu'elle lui manque.
Beaucoup.
Beaucoup trop.
Comme s'il était responsable d'une certaine façon.
Alors que c'est elle qui l'a embrassé.
« Tu m'as embrassé Rose et après t'as fait en sorte qu'on s'voit plus alors me prends pas pour un con. J'suis pas débile hein. J'cogne trop facilement mais j'suis pas débile. » Il renifle, pince les lèvres. « T'as pas à m'faire la morale. Tu fais celle qui s'inquiète parce que j'me suis r'trouvé là mais si j'étais pas passé par la case prison tu s'rais même pas là à m'parler. J'vois pas bien en quoi c'qui peut m'arriver est ton problème puisque ça t'embête pas qu'on s'voit plus. » Il croise les bras. « Et pour info, c'est l'autre qui a commencé, pas moi, mais j'ai cogné plus fort alors c'moi qui paye. » Il se justifie malgré tout. Parce que celui qu'il est dans son regard compte. Parce qu'il a beau lui lancer tout ça, la vérité c'est qu'elle lui manque.
Beaucoup.
Beaucoup trop.
@Rose Delacroix
- HJ:
- mille pardons pour l'attente
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